Cette dernière semaine de mars fut bien mouvementée et laisse augurer une belle saison d'orage. Une goutte froide isolée sur la France a rendu le ciel instable, provocant les premières convections marquantes de cette année.

Au petit matin, alors que je me rends au travail, je croise la route de ces étranges mammatus, dont la taille et l'aspect sont impressionnants.

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En milieu de journée le ciel est très instable. Les cumulus grossissent à vue d'oeil dans le ciel genevois. Ci-dessous, sur la droite, on distingue une enclume de cumulonimbus en cours de désagrégation.

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 Plusieurs cumulonimbus se forment en ligne au dessus du Jura. Malgré un contraste thermique important en altitude, les cumulonimbus se désagrègeront quelques dizaines de minutes plus tard. Une telle situation en plein été serait explosive !

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Plus tard, dans la soirée, j'observe l'évolution du ciel sur un point haut dominant le bassin annecien. Un rideau de pluie avance lentement dans ma direction. Des cumulonimbus se forment encore, mais aucune activité électrique n'est décelable.

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Le 28 mars nous propose le même type de ciels avec quelques Cb bien dessinés.

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La journée du 29 mars est conforme et propose des contrastes saisissants.

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Le 30 mars est assez mouvementé. Dès le matin, j'observe un ciel "hitchkockien"...

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Cette même journée, vers 15h, un orage assez violent survole Genève. Je n'ai pas le loisir de prendre des photos de foudre. Plusieurs centimètres de grêle recouvrent la ville. Le front passé, la température chute d'une dizaine de degrés, remplaçant les averses de pluie par de la neige à partir de 500m.

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